Expat récidiviste.
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Les bords de l'Elbe, le réseau de transport public, les foires et animations qui rythment l'année, les petits restos bien chouettes.
Manque de diversité niveau boutiques fringues, déco, lifetstyle. Chaussées pas toujours bien entretenues. Manque d'épiceries fines. Manque de boulangeries artisanales (du moins par chez moi).
Être un peu coupée du monde, le rituel du samedi soir au pub avec les collègues, les soirées mémorables près du feu de tourbe à boire de la bière et du whisky (pas cliché du tout), les grands espaces.
Plutôt lié au fait qu'on avait ni internet ni voiture et qu'il fallait faire 45 minutes à pinces pour aller en ville (30 en coupant par la forêt).
La ville la plus multiculturelle dans laquelle j'aie jamais vécu !
Le coût de la vie (astronomique), les produits alimentaires vendus en grande distribution.
Re-Erasmus : la fac, les potes, le tourisme. Parfaire l'allemand avant tout !
La cuisine généreuse, la mentalité écolo, le niveau des cours et plein d'autres trucs.
La vie Erasmus : fac, potes, tourisme. Le challenge, comprendre l'accent écossais et parvenir à faire des phrases de plus en plus compréhensibles au fil des semaines.
Toutes les "1ères fois" d'expat, la vie de campus, le groupe d'amis qui comptait une bonne dizaine de nationalités, la beauté des paysages.
La difficulté a obtenir des produits frais (des vrais fruits et légumes, quoi).