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Circulation routière en Belgique

Nouvelle discussion

Priscilla

Bonjour à toutes et à tous,

Comment est l'état du trafic dans la ville ou la région où vous vivez en Belgique ?

Combien de temps mettez-vous généralement pour aller travailler ou pour vos trajets quotidiens ?

Quelles sont les heures de pointe ou au contraire celles auxquelles la circulation est la plus fluide ?

Quels sont vos conseils pour éviter les embouteillages ?

Existe-t-il des mesures ou des initiatives pour réduire la congestion routière en Belgique : covoiturage, navettes, transport public, etc. ?

Merci de partager votre expérience,

Priscilla

Verinoque

Bonjour,
je vous donne le ressenti d'une nouvelle arrivée à Bruxelles : trafic dense et impatient aux heures de pointe, le matin vers 8h30 et le soir à partir de 17h30. Les Bruxellois abusent du klaxon, remontent les files de voiture arrêtées, coupent la route, font demi-tour et le tout, au milieu des trams, vélos et piétons ! Je les trouve dangereux et imprévisibles ! Du coup, je marche, je prends les transports en commun (très bien développés) et le vélo le moins possible...Si je dois conduire un jour ici, je prévois de prendre quelques heures en auto-école !
Mon mari traverse du sud au nord matin et soir et peut passer de 20 mn à plus d'une heure sur la route, selon les bouchons et les accidents.

Voilà pour ma petite expérience.
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Athanazia

Bonjour,

Oui, Bruxelles aux heures de pointe ressemble à la plupart des villes...excitation, énervement.

En province, il y a bien entendu moins de circulation mais le moindre accident provoque ralentissements et mauvaise humeur.

En dehors de ces périodes de pointe - 7h30/9h30 et 16h/18h30 (20h pour Bruxelles) la circulation est assez fluide mais il est toujours intéressant d'écouter les infos trafic à la radio pour éviter de s'engouffrer dans un bouchon suite à un accident.

Athanazia

Autoroutes - Conducteurs fantômes....
Extrait du site de l'IBSR

Sur l'autoroute, nous nous attendons rarement à voir arriver un autre usager en sens inverse sur la bande de gauche. Le caractère brusque et irrationnel de cette "apparition" qui, dans un premier temps, fait plutôt penser à une hallucination, explique peut-être l'utilisation du terme "conducteur fantôme". Dans d'autres pays tels que la France ou la Suisse, on parle simplement de conducteurs "roulant à contresens".

La police fédérale recense entre 350 et 400 conducteurs fantômes chaque année sur nos autoroutes.

Tous les conducteurs fantômes ne provoquent heureusement pas un accident. Mais lorsque c'est le cas, les conséquences sont, la plupart du temps, extrêmement graves. Il s'agit généralement de collisions frontales à des vitesses élevées qui laissent peu de chances aux occupants des véhicules.

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