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La crise économique en Allemagne

jean luc1

les plan sociaux se suivent et se ressemble 

Bosch

L'Allemagne en crise existentielle      Volkswagen et c'est pas finit  . jean Luc😉

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voir aussi thyssen-krupp   . jean Luc😉

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L'État allemand est prêt à voler au secours du géant Thyssenkrupp    jean luc😉


PS: j'ai une solution puisque l'Allemagne doit réarmé massivement , elle commandé du matérielle militaire allemands . et non américain .

jean luc1

Jusqu'à 10.000 emplois menacés chez l'équipementier allemand Bosch, selon le vice-président .  FRANCFORT (Reuters) - Plusieurs plans de réduction d'effectifs récemment annoncés par Bosch, le premier équipementier automobile mondial, menacent entre 8.000 et 10.000 emplois en Allemagne, a déclaré mercredi le vice-président du conseil de surveillance du groupe allemand. Frank Sell, qui préside également le comité d'entreprise de la division Mobility Solutions, a déclaré que ces projetsPlusieurs plans de réduction d'effectifs récemment annoncés par Bosch, le premier équipementier automobile mondial, menacent entre 8.000 et 10.000 emplois en Allemagne, a déclaré mercredi le vice-président du conseil de surveillance du groupe allemand.


Frank Sell, qui préside également le comité d'entreprise de la division Mobility Solutions, a déclaré que ces projets créaient une atmosphère "absolument insupportable" au sein du groupe, qui emploie environ 135.000 personnes en Allemagne.


Il a ajouté que les représentants des salariés et les syndicats élaboreraient un plan d'action pour 2025 qui n'exclurait pas les grèves.


Le marché européen de l'automobile est en plein marasme, affecté par la faiblesse de la demande, les coûts de production élevés, la concurrence chinoise et la lente transition vers les véhicules électriques.


Les salariés de neuf sites allemands du constructeur Volkswagen, un autre géant du secteur, ont débrayé récemment car le groupe exige une réduction de salaire de 10%, affirmant qu'il doit réduire ses coûts et augmenter ses bénéfices pour défendre sa part de marché.


Stefan Grosch, membre du directoire de Bosch et responsable des ressources humaines, a déclaré aux journalistes que les réductions d'emplois étaient nécessaires pour maintenir la compétitivité du groupe.l a par ailleurs indiqué que le conseil de surveillance de Bosch se réunirait vendredi, ajoutant que l'objectif était de procéder aux réductions de manière socialement responsable, mais que les changements rapides dans le secteur signifiaient que le groupe devrait régulièrement revoir sa capacité.  jean luc 😉

jean luc1

@jean luc1

En Allemagne, le marasme du secteur automobile inquiète les jeunes


Les nuages s’amoncellent sur le paysage automobile allemand, où plusieurs constructeurs ont annoncé vouloir supprimer des dizaines de milliers de postes. Alimentant les craintes chez les étudiants fraîchement diplômés, qui privilégiaient le secteur pour sa sécurité de l’emploi, note la “Frankfurter Allgemeine Zeitung”. 

En Allemagne, les étudiants et les jeunes diplômés commencent à ressentir les effets des turbulences touchant le secteur automobile. La Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ) prend l’exemple de Maurice, tout juste sorti major de sa promotion de génie mécanique, qui espérait trouver rapidement un poste chez un constructeur. À l’inverse, le jeune homme reçoit de multiples lettres de refus au lieu de propositions d’entretien d’embauche.


Un changement brutal pour ces jeunes choisissant “ces matières traditionnellement considérées comme un choix sûr pour ceux espérant des perspectives professionnelles stables et un bon revenu”, indique le journal conservateur.


Car en Allemagne, pourtant pays de l’automobile, le secteur connaît d’importantes secousses. Fleuron national, Volkswagen a annoncé, fin octobre, envisager la suppression de dizaines de milliers d’emplois ainsi que la fermeture d’au moins trois usines, une première dans l’histoire du groupe. De son côté, l’américain Ford prévoit de supprimer 2 900 emplois dans le pays d’ici à 2027. Un marasme qui se répercute également chez le réseau de sous-traitants du secteur, lesquels assurent également vouloir réduire la voilure.

Inquiétudes étudiantes

Des coupes franches dans les effectifs qui commencent à se répercuter sur le marché de l’emploi. Une étude réalisée par l’institut Prognos, commandée par l’Union de l’industrie automobile (Verband der Automobilindustrie, VDA), a conclu que 46 000 postes nets ont déjà été supprimés dans le secteur entre 2019 et 2023. “Si cette tendance se poursuit, il pourrait y avoir, d’ici à 2035, 190 000 emplois en moins au sein de l’industrie automobile allemande par rapport à 2019”, ajoute la FAZ.


Une nouvelle conjoncture qui inquiète dans les universités, où le secteur automobile était jusqu’alors vu comme un débouché sûr garantissant sécurité de l’emploi et revenus confortables. Anja Robert, directrice d’un centre d’accompagnement d’aide à l’insertion professionnel lié à l’université d’Aix-la-Chapelle, reconnaît un changement de paradigme :


    “Même si l’économie évolue par nature de manière cyclique, les bouleversements que connaît actuellement l’Allemagne sont particulièrement profonds, notamment dans l’automobile, victime d’un véritable décrochage. Or ce secteur assure de nombreux emplois, directs ou indirects. Difficile de prédire comment les choses évolueront.”


Reste que, face à cet horizon morose, de nombreux jeunes diplômés réfléchissent à changer de voie. Maurice ne désespère pas de trouver un poste, mais il n’exclut pas non plus de “tout arrêter et devenir moniteur de plongée en Indonésie”.    jeam luc 😉


Ps: le secteur traverse une crise très grave , de nombreux emplois vont disparaître comme indiquer dans l'article . car pour construire une voiture électrique il faut beaucoup moins de personelle , la concurrence chinoise , le coût élever des salaires,le manque de soutient du gouvernement allemand  avec une crise politique  , oui les jeunes devrons changer de voies . jean Luc😉

jean luc1

Le chiffre du jour. Les Allemands découvrent que “le chômage, ça n’arrive pas qu’aux autres”


L’Allemagne a enregistré une très légère hausse de son taux de chômage en 2024. Si la situation est loin d’être catastrophique, l’inquiétude se propage dans les foyers d’outre-Rhin, assure la presse germanophone. Assiste-t-on au début du déclin économique du pays ?

Vendredi 3 janvier, l’Agence fédérale pour l’emploi a annoncé que le nombre de personnes sans emploi avait légèrement augmenté en 2024, atteignant 6,1 % de la population active. La première économie européenne comptait ainsi près de 2,8 millions de chômeurs l’année dernière.


Ces chiffres sont loin d’être catastrophiques. Ils sont même inférieurs aux prévisions de certains économistes, qui tablaient sur un taux de chômage à 6,2 %. Le journal de Hambourg n’en demeure pas moins inquiet. Car le nombre de nouvelles demandes d’indemnisation pour perte d’emploi a dépassé la barre symbolique des 10 000 au mois de décembre. Et le recours au chômage partiel a lui aussi augmenté en 2024. Près de 320 000 personnes étaient concernées, contre 241 000 l’année précédente.



Ces derniers mois, les mauvaises nouvelles s’enchaînent. Volkswagen, Bayer, Bosch ou encore BASF ont annoncé des plans de réduction des coûts, en raison de difficultés financières. Et “au troisième trimestre 2024, le secteur allemand de l’industrie a perdu 16 000 emplois de plus que ne le laissait supposer la dégradation de la conjoncture, d’après l’Institut de recherche sur le marché du travail (IAB)”, note le Spiegel. Or l’industrie est l’un des moteurs de l’économie du pays.

L’industrie en crise


“Le marché du travail pâtit d’un ralentissement économique apparu après la crise énergétique de 2022, et dont les effets se font encore ressentir aujourd’hui”, analyse Enzo Weber, chercheur en économie à l’IAB. Interrogé par la Frankfurter Allgemeine Zeitung, il s’attend à ce que le taux de chômage allemand augmente encore en 2025, tout au moins dans certains domaines :


    “L’industrie traverse une crise dont elle ne sortira qu’à condition de se renouveler sérieusement pour se relancer, avec de nouveaux modèles d’activité, de l’innovation et des investissements.”




“Vous pensiez que le chômage, ça n’arrivait qu’aux autres ?” ironise le Spiegel. Dans un long reportage, l’hebdomadaire de Hambourg raconte comment les classes moyennes pourraient bientôt être affectées par le déclassement. Car les soucis financiers des grands groupes ne seraient que “la partie visible d’une crise profonde” : “Le déclin frappe à l’abri des regards, dans les petites régions rurales où les usines font vivre toute une ville depuis plusieurs générations, comme celle de Rodenstock [entreprise de technologies spécialisées dans le domaine médical], à Regen [en Bavière].” 

jean Luc😉


Ps: le secteur de l'automobile est á la peine , avec le passage au tout électrique avec la concurrence chinoise . le coût de l’énergie exorbitant payer par les entreprise et encore plus par les particuliers , suite aux sabotages  de NORD STREAM 1et2 , la guerre en Ukraine , le tout doubler d'une incurie politique suite á des querelles de personnes , le manque d’investissement dans les infrastructures dû á l'incurie politique . L’Europe est aussi responsable avec des accord de libre exchange qui laisse des produits étrangers rentrer en Europe avec des normes qui sont interdite en Europe.  jean Luc😉